mercredi 7 février 2018

SITIV - Intervention Conseil Municipal 5 février 2018

Nous nous sommes déjà exprimés sur ce dossier du SITIV aux relents pestilentiels d'une "gestion entre copains" d'un autre temps. Jusqu'au-boutistes, vous tenez en otage les communes qui ne souhaitent plus faire partie de cette structure inefficace. Vous le faites par des artifices légaux, mais contraires à leur volonté. C'est ce que, à juste titre, vous dénoncer habituellement chez les autres et que l'on nomme la "délinquance légale en col blanc".
Même l'élection de Mme Gicquel en tant que présidente de cette structure montre votre approche manipulatrice et mesquine. Il est de notoriété publique que la nomination de Mme Gicquel n'est pas due à son incomparable expertise en matière informatique, mais tout simplement à son âge !
En effet, il faut que les Vénissians sachent que, vous M. Pierre-Alain Millet, pour sortir d'une situation de ballotage en votre défaveur, vous avez instrumentalisé les statuts de la structure prévoyant qu'en cas d'égalité de voix, la personne la plus âgés remporte les suffrages. Président sortant, vous qui disposez effectivement de compétences en matière d'informatique, vous avez laissé votre place à la personne la plus âgés des administrateurs, une spécialiste informatique hors paires, qui n'est autre que Mme Gicquel… Voilà comment est gérée cette structure.
A cela vous ajoutez l'affaire du "Miroire aux alouettes", cet immeuble d'affaire en construction à l'emplacement du parking tant regretté par les vénissians à l'angle Ambroise-Croizat/Paul Bert. C'est dans cet immeuble, baptisé "Le Miroire", que devrait déménager un jour le SITIV. Des dires des élus des villes opposées à leur maintien de force dans le SITIV, les locaux envisagés sont disproportionnés par rapport à aux besoins et aux moyens de la structure. Mais de toute évidence, il a été préféré à une gestion saine et de bon sens, la décision d'investir ces nouveaux locaux (il en serait de même pour la SACOVIV). Il se dit que cette décisions incohérente, serait motivée par la nécessité de gonfler artificiellement la barre fatidique des 50% de commercialisation avant lancement de l'opération, pour que le promoteur s'engage dans sa réalisation…
Toute personne de bon sens comprendra que dans ce contexte qui sent le soufre, nous nous abstiendrons sur tous les sujets concernant de près ou de loin le SITIV. Le Groupe Pour la Victoire du Bon Sens à Vénissieux s'abstiendra donc des deux mains de voter ce rapport.

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